MISSION

ICNM – Grand événement incontournable, speakers exceptionnels!

– Japan Naturopathic Medicine Society

ICNM – L’excellence en médecine traditionnelle, complémentaire & intégrative

Organisation à but non lucratif d’enseignement supérieur, ICNM est le plus grand congrès mondial organisé en étroite collaboration avec 205 organisations professionnelles, universités et centres de recherches qui a pour vocation de promouvoir et présenter les meilleures pratiques dans l’ensemble des domaines de médecine traditionnelle, complémentaire & intégrative.

Ce congrès exceptionnel réuni des délégués de 55 pays.
Le programme est officiellement accrédité par l’OBMN. Les différentes parties prenantes des secteurs publics et privé du monde entier se retrouvent pour présenter et discuter des nouvelles approches et partager l’expérience des différents pays.

COMITÉ EXÉCUTIF

Réunir les experts de 55 pays!

A. NARBONI ND, TCM

CANADA – FRANCE

Présidente

O. LEOST ND

ROYAUME-UNI

Comité Exécutif

P. COTTINGHAM ND

NOUVELLE ZÉLANDE

Comité Exécutif

DR A. BOUDET ND

ETATS UNIS

VP Comité Scientifique

DR A. AGGARWAL ND

KENYA

Comité consultatif

DR S. CZERANKO, ND

CANADA – ETATS UNIS

Membre Fondateur

AC. MERET ND

FRANCE

past Secrétaire Générale

D. LÉAUD-ZACHOVAL ND

FRANCE

Comité Exécutif

P. REPON ND

FRANCE

Ambassadrice

C. E. AMEY ND

ITALIE

Comité consultatif

DR J. HWANG ND

CANADA

Ambassadrice

C. PORTELLA ND

BRESIL

Ambassadeur

A. VERET ND

FRANCE

Comité Exécutif

F. LAVAND’HOMME ND

BELGIQUE

Comité consultatif

S. LEMOIGNE

ESPAGNE

Comité consultatif

DR F. SONG JR ND

ETATS UNIS

Ambassadeur

D. SCHLEICH PHD

ETATS UNIS

Membre Fondateur

E. GREENWOOD ND

AUSTRALIE & NZ

Ambassadrice

D. PARADIS ND

CANADA

Ambassadeur

L. MILICI ND

ESPAGNE

Ambassadrice

A. GUEPRATTE ND

FRANCE

Ambassadrice

C. MAIA ND

PORTUGAL

Ambassadrice

INVITATION DU PRÉSIDENT

Bienvenue au Congrès Mondial ICNM

Chère amie, cher ami,

C’est une immense joie de vous annoncer que le 9e Congrès Mondial ICNM aura lieu à Paris. Cette 8e édition est organisée en partenariat avec
205 prestigieuses institutions de médecine traditionnelle, complémentaire & intégrative à travers le monde.

Aujourd’hui, ICNM est le plus important congrès mondial qui réunit les professionnels de santé venus du monde entier. ICNM, c’est 55 pays présents, 48 nouvelles recherches dévoilées, 30 conférenciers-experts mondialement reconnus, 205 sociétés savantes partenaires, une plateforme spécialement dédiée aux universités & associations, un espace exposant innovant … et plus encore.

Le Comité Scientifique prépare pour vous un programme exceptionnel, conforme à notre engagement d’excellence face à l’innovation, l’expertise et le partage.
Ceci, afin de contribuer continuellement à l’amélioration de nos pratiques quotidiennes.

Au plaisir de vous accueillir et de partager l’effervescence de cette événement incontournable.

AM Narboni ND, MTC
Présidente
ICNM


Excellence en médecine traditionnelle,
complémentaire & intégrative

La médecine complémentaire est un système médical complet et cohérent qui mise avant tout sur la stimulation des mécanismes naturels d’autoguérison du corps. Les interventions visent en premier lieu à activer, nourrir et renforcer ces mécanismes plutôt qu’à éliminer des symptômes ou à attaquer directement des agents pathogènes.

Ses origines

Par sa nature et ses fondements, la médecine complémentaire se rattache résolument à la tradition médicale de la Grèce antique. Les principes qui président de nos jours doivent beaucoup au « Corpus hippocratique » qui a constitué la base de la médecine occidentale. En voici les grandes lignes.

Primum non nocere – D’abord ne pas nuire. Les symptômes d’une maladie (la fièvre, par exemple) peuvent être des manifestations d’un processus de guérison. Par conséquent, leur suppression pure et simple peut causer plus de tort que de bien. Les interventions thérapeutiques doivent donc favoriser le processus naturel de guérison et non le contrer.

Vis medicatix naturae- La nature recèle son propre pouvoir de guérison. Le corps possède la capacité inhérente de préserver la santé et de la rétablir lorsqu’il l’a perdue. Au coeur de l’organisme vivant se trouvent les forces de vie permettant d’y parvenir. Le rôle du médecin ou du thérapeute consiste à faciliter l’accès à ces forces en découvrant et en éliminant les obstacles qui s’y opposent.

Tolle causam – Découvrir et traiter la cause. Le médecin doit rechercher les causes de la maladie plutôt que de tenter d’en supprimer les symptômes. La maladie est vue comme l’aboutissement ultime d’un dérèglement particulier. Le rétablissement de l’équilibre naturel ne peut se faire qu’en travaillant sur les causes à l’origine de ce dérèglement.

Docere – Enseigner. Le médecin doit guider son patient sur la voie de la guérison et l’aider à préserver sa santé de façon naturelle. Il doit donc lui enseigner à prendre soin de lui-même et à prendre en charge son propre processus de guérison, selon les principes suivants :

  • L’approche holistique. Le thérapeute explique au patient que sa maladie est le fruit d’un ensemble complexe d’interactions entre les plans physique, mental, émotionnel et spirituel, et qu’il devrait intervenir sur chacun d’eux.
  • L’alimentation. Il lui enseigne comment se nourrir de façon à obtenir tous les nutriments nécessaires à sa santé, afin d’éviter de recourir à des médicaments de synthèse ou à des interventions chirurgicales.
  • La prévention. Il lui enseigne enfin comment agir sur son environnement et son mode de vie afin de maximiser ses forces et son bien-être et, au bout du compte, de réduire les risques de maladie

À partir de la fin du XIXe siècle, au moment où toutes les sciences connaissent un essor fabuleux, la médecine découvre et intègre une foule d’approches empiriques allant de l’homéopathie à l’hypnose, en passant par les pharmacopées de diverses cultures. Aux États-Unis, le mouvement de la médecine éclectique a recours à de nombreuses approches médicales venues de la vieille Europe, d’Asie et des peuples amérindiens. Une panoplie de préparations d’herboristerie sont également fort populaires auprès des médecins de l’époque.

C’est dans cette mouvance que l’Allemand Benedict Lust (1870-1945), qui était médecin, ostéopathe et chiropraticien, fonde officiellement la médecine complémentaire après avoir émigré aux États-Unis. En 1902, il inaugure, à New York, la première école : on y enseigne l’hydrothérapie, l’herboristerie, la nutrition, la physiothérapie, la physiologie, la psychologie et une foule d’autres techniques thérapeutiques.

C’est ainsi que, dans le premier, s’ouvriront aux États-Unis quelques douzaines d’écoles offrant des cours d’une durée de quatre ans. Ces formations étaient souvent associées à des cours avancés en homéopathie ou en chiropratique, des techniques médicales qui connaissaient également à ce moment un essor important.

Parallèlement à ce foisonnement, se développait une médecine davantage axée sur les interventions chirurgicales dites « lourdes » et sur les médicaments de synthèse issus de l’industrie pharmaceutique naissante. Cette approche, perçue comme étant davantage « scientifique », finit par gagner la faveur des facultés de médecine des grandes universités de l’Occident. C’est cette direction que prend la médecine au cours des décennies qui suivent. Seuls les médecins formés dans les facultés de médecine sont alors autorisés à diagnostiquer et à traiter les maladies. Résultat : la majorité des écoles ferment leurs portes.

Cependant, à partir des années 1970, on connaît un regain de popularité auprès du public. Quelques universités américaines commencent même à offrir une solide formation de quatre ans.

En 1983, l’Organisation mondiale de la Santé recommandait aux autorités médicales de tous les pays d’intégrer la médecine complémentaire aux services de santé publics.